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Beanjolois. 113
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cité, par fon enregiftrement aux confuls, ne peut être ignorée des commet-tans dudit fleur Wolff: au moyen de quoi cette allégation eft un foible moyen pour l'interrompre dans fa recette et dans fon adminiftration, etc.
Signé : Crescent de Bernaut.
Sur quoi, etc., et pour être fait droit fur les conteftations des parties, les avons renvoyées à fe pourvoir cn l'hôtel et par-devant M. le lieutenant civil, toutes chofes demeurant en l'état, et à cet effet avons indiqué le référé en l'hôtel et par-devant mondit fleurie lieutenant civil, à demain mercredi, iode cc mois, trois heures de relevée.
Signé : Sirebeau.
L'an 1788, le n feptembre, trois heures de relevée, àla requête des inté-relTés en la fociété et entreprife du fpectacle de monfeigneur le comte de Beaujolois, nous a été fignifié et laiffé copie de l'ordonnance rendue contradictoirement fur référé le 10 de ce mois, par M. le lieutenant civil entre Ief-dits intéreffés ct Iefdits fieurs Bernard, par laquelle entre autres chofes il cft ordonné que nous commiffaire viderons et verferons ladite fomme de 205 livres io fols, provenant de la recette dudit fpectacle du 9 de ce mois et dont nous fommes refté dépofltaire fequeftre, entre les mains dudit fleur Delafoffe, caiffier dudit fpectacle, lequel demeure autorifé ù. toucher et retirer ladite fomme dc nos mains, etc.
Et le vendredi 12 feptembre, etc., cft comparu fleur Nicolas-Louis Dela-fofle, cailler du fpectacle de monfeigneur le comte de Beaujolois, demeurant rue Neuve-des-Petits-Champs, paroiffe Saint-Euftache. Lequel, etc., requiert quc nous ayons à lui remettre la fomme de 205 livres 10 fols, etc.
Signé : Delafosse.
Sur quoi, nous commiffaire, etc., avons verfé audit Delafoffe ladite fomme, etc.
Signé : Sirebeau, Delafosse.
(Archives des Comm,, n° 4688.)
II
L'an 1788, le mercredi 8 octobre, heure de midi, en notre hôtel et pardevant nous, François-Jean Sirebeau, etc., eft comparu fleur Franfois-Hya-cinthc-Guiflain Crefcent de Bernaut, adminiftrateur général du fpectacle de S. A. S. monfeigneur Ie comte de Beaujolois, demeurant rue Saint-Lazare, faubourg Montmartre : lequel nous a dit que le fleur Lutaine, auteur d'une pièce intitulée : le Lord et fon+jochii, ayant projeté de faire exécuter fa pièce au fpectacle de S. A. S. monfeigneur le comte de Beaujolois, voulut, par une innovation dangereufe et nuifible à l'entreprife dudit fpectacle, traiter de fa Sr. 8
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